Quand mes chevaux et moi auront disparu de cette planète, il restera derrière nous quelques ruines de briques et de bois, et une forêt qui progressivement auront effacé notre empreinte sur terre. Tri des déchets, très peu de mécanisation, beaucoup de déplacements à pieds, en vélo, à cheval... Nous consommons en local, à maximum 5 kms de chez nous, hormis les produits de la mer achetés à Dieppe (17 kms), le plus souvent directement aux pêcheurs. Peu d'électricité dépensé, un peu de bois pour se chauffer, notamment issu de récupération (palettes,...). Nous achetons quasi-exclusivement nos vêtements, chaussures,...en seconde main, via le secours populaire, Vinted,... Nous reproposons à notre tour ces mêmes effets tant qu'ils sont en bon état. Peu d'empreinte carbone, jamais d'avions, peu de déplacements en voiture, sauf nécessité, pour, une fois par an, prendre le bateau quelques minutes, et passer quelques jours sur une île où le vélo est le mode de transport exclusif des visiteurs...